Pour FO, les travailleurs qu’on appelle migrants ne sont pas une valeur marchande

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Pour FO, les travailleurs qu'on appelle migrants ne sont pas une valeur marchande

Des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants tentent de survivre à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne. Fin novembre, c’est un nouveau naufrage dans la Manche qui a coûté la vie à vingt-sept personnes. Les tragédies se multiplient et FO rappelle que la question des migrants doit être traitée sous l’angle de la dignité humaine et de la solidarité.

Le 24 novembre dernier, vingt-sept personnes trouvaient la mort dans le naufrage d’une embarcation au large de Calais, alors qu’elles tentaient de rejoindre l’Angleterre. Seulement deux en ont réchappé. Le même jour, cent six personnes étaient sauvées in extremis lors de trois opérations de secours, également dans la Manche.

En ce début d’hiver, par un froid glacial et dans des conditions insupportables, environ sept mille migrants tentent, eux, de survivre depuis des semaines dans des campements de fortune, le long de la frontière entre la Biélorussie et la Pologne. Depuis l’été 2021, des hommes, des femmes et des enfants qui ont quitté leurs pays (Syrie, Irak…), fuyant la misère et/ou les persécutions, se retrouvent dans une autre tragédie, aux portes de l’Union européenne, pris dans une nasse dont les mailles tissent un conflit géopolitique qui les dépasse.

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