Les personnes migrantes ne peuvent servir de monnaie d’échange aux pressions diplomatiques

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Les personnes migrantes ne peuvent servir de monnaie d'échange aux pressions diplomatiques

Mardi 27 septembre, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a annoncé une décision « drastique et inédite » de durcissement des conditions d’octroi des visas à l’égard du Maroc, de l’Algérie et la Tunisie, motivée par le fait que ces pays refuseraient de permettre le retour dans leurs pays des immigré.e.s refoulé.e.s de France. La Cimade dénonce des mesures injustes et inacceptables. D’abord, parce que la logique sous-tendant ces mesures de rétorsion s’inscrit dans un contexte plus large de (...)

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