Après avoir réduit de 2 années la vie à la retraite et développé le travail du dimanche, le gouvernement et les organisations patronales ont lancé de nouvelles offensives pour attaquer le 1er mai, seule journée fériée obligatoirement chômée, rémunérée et symbolique pour les travailleurs·euses à l’international. Leur but est de renier les droits des salarié·es, toujours, sur les acquis sociaux. C’est le sens d’une proposition de loi sénatoriale, « Permettre aux salariés de certains secteurs de travailler le (...)

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