Un peu d’humanité dans un monde de brutes : un centre d’appels en coopérative

Publié le

Un peu d'humanité dans un monde de brutes : un centre d'appels en coopérative

Par Agnès Rousseaux, Ivan du Roy (20 mai 2010)

Dans l’univers impitoyable des centres d’appels, une petite entreprise se démarque en arrivant à concilier politique sociale et performance économique. C’est en partie dû à son statut : A Cappella est une Scop, une société coopérative de production. Les bénéfices sont en priorité redistribués aux salariés, et les valeurs sociales y sont prépondérantes. Un « Web reportage » dans le seul centre d’appels en coopérative de France.

Les centres d’appels en France, ce sont autant d’emplois que dans l’industrie automobile, soit environ 260.000 salariés. Depuis une dizaine d’années, les plateaux téléphoniques et leurs bureaux en « marguerite » ont poussé partout. Ils appartiennent à des sociétés spécialisées dans la « relation client » (Téléperformance, B2S…) ou sont gérés en interne par toute entreprise qui souhaite fidéliser ses clients ou en conquérir de nouveaux : banques, opérateurs de télécoms, assurances, vendeurs d’électricité ou de gaz, agences de voyages...

Source : La suite de l’article en cliquant ici...

Autres articles dans cette rubrique

Audition au Sénat de Jacques Landriot sur les Sociétés coopératives

La commission des affaires économiques entend Mercredi 11 juin 2025 à 9 heures 30 Jacques Landriot, président de la confédération générale des sociétés coopératives et participatives Cette audition...

Coraline Gervais témoigne : Être responsable RH dans une Scop chez Ceicom (31)

Coraline Gervais, responsable RH chez Ceicom en Haute-Garonne (31), explique comment la promesse employeur des coopératives transforme son rôle et son quotidien. Une belle illustration de l’impact...

L’intelligence artificielle et les Scop : leviers de transformation pour l’entreprise de demain ?

Alors que plus de la moitié des salariés (52 %) et des dirigeants (60 %) voient l’IA comme une opportunité, une majorité (80 % des salariés et 71 % des dirigeants) craint qu’elle entraîne des...

close