Sous munitions : des mines antipersonnel qui ne disent pas leur nom...

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Sous munitions : des mines antipersonnel qui ne disent pas leur nom...

Parmi les entreprises présentes au salon, GIAT, EADS et THALES : les trois principaux groupes français impliqués dans la fabrication et la commercialisation des sous-munitions.

Un commerce relativement opaque éclairé par le rapport de l’Observatoire des transferts d’armements, très explicite sur les pays producteurs de sous-munitions et leurs exportations (disponible sur demande aux coordonnées ci-dessous).

Véritable fléau pour les populations civiles, ce sont plusieurs millions de sous-munitions qui ont été déversées au cours des trois derniers conflits majeurs - Kosovo (1999), Afghanistan (2001-2002) et Irak (2003-2004).

A l’instar de la prise de conscience internationale sans précédent qui a permis d’aboutir à un traité d’interdiction des mines antipersonnel, il est urgent de se mobiliser et de pousser les Etats à interdire la production, l’utilisation et le transfert de ces armes.

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