Après une solide expérience en France et aux Etats-Unis et une belle carrière marocaine, il est passé de l’autre côté, acceptant de se faire ministre avec Jettou. Pas une seconde d’hésitation. Oui, il assume la ministrabilité et rêve d’une administration sur le mode de l’agence, à l’américaine, avec obligation de résultat.
48 heures dans la vie d’un ministre : Adil Douiri en « marathon man »
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