Au-delà de l’intérêt « technique » que représente la démonstration administrée par Aurélien Bernier tout au long de ce livre vis-à-vis des orientations qu’ont pris les grandes entreprises pour faire « fructifier » leurs propres pollutions, il faut retenir les solutions avancées dans les derniers chapitres de ce livre car elles ouvrent de véritables perspectives pour envisager de manière durable notre environnement et donc notre environnement social.
En cette période de crise mondiale dans les domaines économiques, financiers, alimentaires, énergétiques et sociaux, il y a fort à parier que l’environnement et le social passeront à la trappe de l’histoire présente plus vite que de raison.