Censurer les arts de la rue : un mauvais coup à porter au vivre ensemble

Publié le

Censurer les arts de la rue : un mauvais coup à porter au vivre ensemble

Alors que l’état d’urgence a été prolongé une quatrième fois cet été, les manifestations d’arts de la rue font face à des exigences de sécurisation de plus en plus contraignantes. Malmenés, déplacés, redimensionnés, voire annulés, les spectacles dans l’espace public portent pourtant la capacité à ré-enchanter l’espace public aujourd’hui.

Depuis l’automne dernier, des actes terroristes ont frappé plusieurs fois dans l’espace public.

La gravité de cette situation historique conduit à une sur-sécurisation et à une forme de privatisation sécuritaire de l’espace public, contraire à sa nature de bien public et d’espace de partage par excellence entre les citoyens et les citoyennes.

Source : La suite de l’article...

Autres articles dans cette rubrique

100 millions d’euros en moins pour la Culture : courriers aux parlementaires

A l’annonce d’une coupe budgétaire inédite du programme 131 (création) du ministère de la Culture, nous avons immédiatement réagi en alertant d’une part le Premier ministre et la ministre de la Culture,...

Lettre de relance sur la crise des salaires dans le spectacle vivant

Relance de la CPPNI des entreprises artistiques et culturelles à l’attention du Premier ministre, de la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités et de la ministre de la Culture M Gabriel...

Loi immigration : consternation du spectacle vivant public

Suite au vote à l’Assemblée nationale de la loi relative à l’immigration, issue de la commission mixte paritaire, nous syndicats, associations représentatives du secteur du spectacle vivant, tenons à...

close