« Si la loi est votée, la réforme reste à faire. » Faisant référence à celle de l’assurance maladie, que la Mutualité française (FNMF) soutient, son président national Jean-Pierre Davant n’a pas ménagé hier à Pau ses critiques, et mêmes ses réserves, sur plusieurs dispositifs que les prochains décrets ministériels pourraient officialiser.
Une trop grande place aux patrons
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