Médecins du monde et d’autres associations ont attaqué l’État en justice lundi pour son "inaction" concernant l’avenir des "salles de shoot", ces lieux de consommation de drogue à moindres risques.
Elles craignent que les deux seuls dispositifs existant en France, à Paris et à Strasbourg, ferment à la fin de l’année et s’inquiètent de l’absence de nouvelles salles.