La revanche des Scop

Publié le

La revanche des Scop

Les sociétés coopératives et participatives (Scop) françaises, gouvernées afin de privilégier leur pérennité et leur ancrage territorial, présentent de belles réussites, tous secteurs d’activité confondus.

Elles font rarement la une de la presse économique alors qu’elles pèsent près de quatre milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel cumulé et emploient plus de 45 000 salariés. Certes, les projecteurs se braquent périodiquement sur elles comme lors du premier déplacement d’Emmanuel Macron, le nouveau ministre de l’Économie. Cette sortie n’avait rien d’anodin. En choisissant le site industriel d‘Acome, une entreprise spécialisée dans les systèmes de câblage pour les télécommunications, l’automobile et le bâtiment, l’ancien banquier d’affaires et ancien secrétaire général adjoint de l’Élysée, a visiblement voulu envoyer un signe en direction de l’économie sociale et solidaire (ESS).

Source : Hexagones du 30/09/14 par Henri Bessières

Autres articles dans cette rubrique

La Scic : une solution pour faire évoluer les associations. Bleu-Blanc-Cœur : une association reconnue qui vient de changer son statut

Certaines associations se trouvent parfois limitées dans leur fonctionnement et leur évolution et un changement de statut peut s’avérer indispensable. La transformation en Scic permet de conserver...

JO Paris 2024 : les sociétés coopératives dans la course pour les infrastructures de demain

4 exemples de coopératives conjuguant expertise technique et modèle coopératif au service des ouvrages olympiques A J-100 des Jeux olympiques et paralympiques [3], la Confédération générale des Scop...

Accélérer le développement de coopératives ultramarines grâce au Programme Outre-mer des Scop et des Scic de la CG Scop piloté de la Réunion

Pour amplifier la création de coopératives hors de l’hexagone, la Confédération générale des Scop et des Scic lançait il y a trois ans le Programme Outre-mer des Scop et des Scic (POM), en partenariat...

close