En 2016, la loi de modernisation du système de santé a étendu la réduction des risques (RDR) en milieu pénitentiaire. Presque dix ans après, cette disposition n’est toujours pas appliquée. Résultat : les personnes détenues continuent de partager seringues, pipes à crack et autres matériels, s’exposant à des contaminations au VIH et aux hépatites – dont la prévalence est 6 à 10 fois plus élevée en prison qu’en population générale. Depuis près d’une décennie, associations de santé et de droits humains alertent (...)

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