Accélération des reprises d’études en début de vie active
Publié le 2 novembre 2020 en accès grand public
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En mobilisant trois enquêtes Générations, Alexie ROBERT, chargée d’études au Céreq, étudie les reprises d’études durant les sept premières années de vie active des jeunes entrés sur le marché du travail en 1998, 2004 et 2010. L’auteure livre une analyse inédite de ce phénomène en plein essor, qu’elle examine au prisme du diplôme de ces jeunes. Elle décrypte leurs différentes motivations et mesure le poids des inégalités sociales sur leur retour en formation initiale.
Près d’un jeune entrant sur quatre reprend désormais des études
Des reprises d’études pour achever ou compléter la formation initiale... et améliorer in fine sa situation professionnelle
Une baisse des inégalités sociales d’accès aux reprises d’études [1]
Acquérir un diplôme reste le graal. La recherche d’un diplôme plus élevé et l’amélioration des conditions d’insertion professionnelle demeurent les moteurs principaux de reprises d’études en pleine expansion. Alexie ROBERT pointe ici l’effet positif des politiques de lutte contre le décrochage scolaire et la porosité croissante entre formation initiale et formation continue préfigurant l’amorce de la formation tout au long de la vie.
Reprise d’études en début de vie active : acquérir un diplôme reste le graal
Alexie Robert
Céreq Bref n°396, 2020, 4p.
[1] Hors alternance