Calomniez, il en restera toujours quelque chose

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Calomniez, il en restera toujours quelque chose

Choqués et abasourdis. La publication, ce matin, d’un simulacre de scoop sur la présumée mauvaise gestion de AIDES, à la une du Parisien, est un coup très dur porté à nos militants et à la lutte contre le sida toute entière. Cette enquête, qui n’a de sensationnel que le titre, est largement contestable en de nombreux points, sur la méthode comme sur le fond. C’est un véritable florilège de contre-vérités, qui aligne pêle-mêle chiffres et assertions douteuses, tous démontables point par point, ou détachés de leur contexte et dépourvus de la moindre analyse.

La méthode, d’abord, est pour le moins malhonnête. Après plus de trois mois d’ "enquêtes", le Parisien n’a daigné contacter notre structure qu’hier après-midi (24 janvier), soit quelques heures avant de boucler ce brûlot. Le journal n’a pourtant pas hésité à solliciter de longue date certains salariés historiquement en conflit avec l’association. Les arguments de AIDES intéressaient bien peu l’auteur de ce papier déjà totalement orienté à charge contre l’association.

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