France Culture ce soir (29/01) : "Entre Etat et marché, y a-t -il une place pour une économie sociale et solidaire ?"

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France Culture ce soir (29/01) : "Entre Etat et marché, y a-t -il une place pour une économie sociale et solidaire ?"

Par Max Armanet
Réalisation : Marie-Christine Clauzet

Invités

- Claude Alphandéry. Ancien président du Conseil National de l’insertion par l’activité économique
- Augustin de Romanet. Le Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations

Présentation de l’émission :

France Culture et Libération s’associent et proposent désormais une fois par mois à leurs auditeurs et leurs lecteurs Les Controverses du progrès.

Présentées par Max Armanet, Les Controverses du progrès invitent deux personnalités à se saisir d’un thème et à en débattre en exposant leur point de vue. Leur dialogue s’enrichit ensuite des interventions et questions de l’auditoire.

A travers ces débats, il s’agit de produire des réflexions pluralistes, suffisamment relayées médiatiquement pour être portées à la connaissance des décideurs et du grand public. Leur médiatisation, simultanée et multicanal, se fera le dernier vendredi de chaque mois : France Culture diffuse sur son antenne l’émission radio -Les controverses du progrès - de 9 heures à 10 heures tandis que Libération y consacre un traitement rédactionnel en double page. Ce programme est par ailleurs visible en intégralité en vidéo sur ce même site.

(sur une idée de Max Armanet et Agnès Touraine)

Source : En savoir plus ?

Tous les commentaires

29-01-2010 par Michel-Jean LAVEAUD

Oui, il y a une place pour l’économie sociale et solidaire entre l’Etat et le marché avec les mêmes difficultés que rencontre un couple amoureux qui voit arriver un trublion envahissant qui impose aux deux complices de reconsidérer leurs libertés pour que la (leurs) vie(s) se perpétue(nt).
Depuis de nombreuses années l’Etat et le marché connaissent d’étranges rejetons, même qu’ils tolèrent des nurseries pour l’ESS, des entreprises et des maisons de retraite coopératives.
A l’instar des Droits de l’Enfant nécessaires au développement durable, l’Etat et le marché tolèrent l’ESS comme supplétive en tous lieux et en tous les temps de vie,
avec une invitation à la modération comme il convient aux subalternes. Le probléme avec " le développement", les petits deviennent adultes puis A.J. anciens jeunes et la servitude volontaire leur gratouille la mémoire avant qu’elle ne s’éteigne.
Pensez, l’abolition de l’esclavage, l’apprentissage de la liberté coopérative et les aléas climatiques occupent la déformation tout au long de la vie, ce qui met " les jeunesses au travail " dans des espaces intermédiaires de l’action publique et dans une économie plurielle non restreinte au marché, expansive.

L’ESS explore et invente des marges entre l’Etat et le marché, dans et depuis l’Etat et le marché. La question est-elle bien posée quand l’ESS participe du fonctionnement de l’Etat et du marché, autrement ?

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