Sucre, sel, gras : le carton rouge attendra

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Sucre, sel, gras : le carton rouge attendra

Mi-juin, les députés européens ont voté en première lecture la mention obligatoire des valeurs nutritionnelles sur les aliments. Mais ils ont abandonné pour de bon l’idée d’un système d’alerte sur les produits trop salés, trop sucrés ou trop gras. Explications.

Verra-t-on un jour la mention « nuit gravement à la santé » barrer l’étiquette d’un pot de Nutella ou orner un paquet de chips ? A priori, ce n’est pas demain la veille. Tandis que les tours de taille gagnent dangereusement des centimètres sur le Vieux continent, l’affaire a longtemps fait débat au Parlement européen. Le 16 juin, les députés ont tranché : les aliments devront désormais préciser clairement la valeur énergétique mais aussi la teneur en glucides, lipides, acides gras saturés et sel des aliments. Et ce, en pourcentage sur 100 grammes ou 100 ml. A l’avenir – si la loi passe en deuxième lecture – vous devriez donc savoir à quoi vous en tenir. Sauf que voilà. Opter pour un paquet de céréales Trésor à 444 kcals pour 100 grammes plutôt que pour son cousin Chocapic à 380 kcals risque-t-il vraiment d’alourdir votre silhouette ? Pis, de mettre en danger votre santé ? Difficile à savoir sans plonger dans un bouquin de nutrition.

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