L’économie sociale et solidaire s’impose dans la campagne présidentielle
16 avril 2017, 14:17, par Jean-bernard koechlin
On, retrouve ici les positionnements stéréotypés, sauf celui d’E Macron peut-être, parce que ses représentants présents savaient mieux de quoi elles parlaient . Le Pen voit dans "circuit court" un espace permettant de renforcer l’isolement vis à vis de l’étranger, c’es sa marotte, Mélanchon virevolte autour du sujet sans rien dire sauf qu’il faut dépouiller les riches. Bien sur, Fillon se raccroche à l’épargne solidaire, dont on sait bien que les énormes épargnes accumulées depuis des années ne profitent pratiquement pas aux structures de l’ESS. Hamon, malheureusement n’a pas su utiliser les acquis de l’ESS et confond le développement de cette économie avec la décroissance en se défaussant sur des écologistes. En fait, ils sont tous bien embêtés face à ce sujet. On a créé une loi cadre, c’était bien le rôle de l’Etat. A présent, l’initiative est à la base. Ce n’est plus l’Etat qui est interpellé mais les entrepreneurs locaux et les collectivités locales. Les candidats aurait tous pu dire qu’il fallait déjà que celles-ci respectent la loi NoTRE, à commencer par les régions (Cf les dégà¢ts des choix de la région Ile de france et des départements parisiens passés à droite).
Quant à avoir un ministre ESS, c’est moins opérant que d’avoir un service à Bercy, qui aura plus de continuité dans l’action, si du moins il dispose d’un enveloppe budgétaire.
On, retrouve ici les positionnements stéréotypés, sauf celui d’E Macron peut-être, parce que ses représentants présents savaient mieux de quoi elles parlaient . Le Pen voit dans "circuit court" un espace permettant de renforcer l’isolement vis à vis de l’étranger, c’es sa marotte, Mélanchon virevolte autour du sujet sans rien dire sauf qu’il faut dépouiller les riches. Bien sur, Fillon se raccroche à l’épargne solidaire, dont on sait bien que les énormes épargnes accumulées depuis des années ne profitent pratiquement pas aux structures de l’ESS. Hamon, malheureusement n’a pas su utiliser les acquis de l’ESS et confond le développement de cette économie avec la décroissance en se défaussant sur des écologistes. En fait, ils sont tous bien embêtés face à ce sujet. On a créé une loi cadre, c’était bien le rôle de l’Etat. A présent, l’initiative est à la base. Ce n’est plus l’Etat qui est interpellé mais les entrepreneurs locaux et les collectivités locales. Les candidats aurait tous pu dire qu’il fallait déjà que celles-ci respectent la loi NoTRE, à commencer par les régions (Cf les dégà¢ts des choix de la région Ile de france et des départements parisiens passés à droite).
Quant à avoir un ministre ESS, c’est moins opérant que d’avoir un service à Bercy, qui aura plus de continuité dans l’action, si du moins il dispose d’un enveloppe budgétaire.
Voir en ligne : http://www.polesnoe.org