Création de l’association CH(S)OSE : Pour un accès effectif à la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap
20 février 2011, 11:30
Une telle démarche auprès d’un public spécifique de personnes handicapées peut certainement contribuer à faire évoluer l’éducation à la sexualité en général.
J’ai 44 ans et je constate régulièrement dans mon travail ou ma vie privée que l’on confond facilement sexualité et amour. Ces deux notions peuvent être compatibles et c’est l’idéal mais on peut aimer quelqu’un sans aboutir forcément à une relation sexuelle. De même, on peut avoir des relations sexuelles sans aimer l’autre.
Ce qui me paraà®t incontournable cependant est l’équilibre personnel que peuvent apporter sensualité, sexualité ou amour (cumulés ou non) et ce d’abord en "individuel".
Apprendre à se faire plaisir permet de savoir ce que l’on aime et ce que l’on aime pas : un bon moyen de se respecter d’abord mais aussi de se faire respecter par autrui.
Alors votre idée, je suis pour.
Vivement des débats officiels autour de cette idée que l’on puisse mieux connaà®tre nos contemporains, politiques, représentants religieux, philosophes et autres.
La vie intime mérite quelque fois un peu de lumière !!!
Une telle démarche auprès d’un public spécifique de personnes handicapées peut certainement contribuer à faire évoluer l’éducation à la sexualité en général.
J’ai 44 ans et je constate régulièrement dans mon travail ou ma vie privée que l’on confond facilement sexualité et amour. Ces deux notions peuvent être compatibles et c’est l’idéal mais on peut aimer quelqu’un sans aboutir forcément à une relation sexuelle. De même, on peut avoir des relations sexuelles sans aimer l’autre.
Ce qui me paraà®t incontournable cependant est l’équilibre personnel que peuvent apporter sensualité, sexualité ou amour (cumulés ou non) et ce d’abord en "individuel".
Apprendre à se faire plaisir permet de savoir ce que l’on aime et ce que l’on aime pas : un bon moyen de se respecter d’abord mais aussi de se faire respecter par autrui.
Alors votre idée, je suis pour.
Vivement des débats officiels autour de cette idée que l’on puisse mieux connaà®tre nos contemporains, politiques, représentants religieux, philosophes et autres.
La vie intime mérite quelque fois un peu de lumière !!!
Angèle