Pour aider Haà¯ti aujourd’hui et demain : annulez la dette !
7 février 2010, 20:00, par Raymond Toye
Aà®e - comment interpréter alors, les paroles du "premier ministre haà¯tien, Jean-Max Bellerive, estimant lui-même que ce [la question de la dette d’Haà¯ti ] n’était "certainement pas le principal". "La dette haà¯tienne est supportable, le plus gros de l’annulation est déjà fait", a-t-il ajouté." puis, dit l’article, selon "d’autres observateurs, une annulation de sa dette pourrait embarrasser Haà¯ti en lui compliquant, à l’avenir, l’accès à de nouveaux crédits. "
Peut-être faut-il comprendre que a) la dette d’Haiti n’est qu’un des aspects de la crise structurelle de ce pays, auquel s’ajoute le cataclysme tectonique, après le climatique b) mobiliser l’opinion occidentale contre le crédit (et notamment les prêteurs, publics et privés, surtout affluents, le Vénézuela étant un premier créancier qui détonne) est relativement faisable (désormais fait), alors que le Premier ministre de ce pays semblait craindre que à§a nuise à son pays et son peuple...comment est-ce possible ?
Aà®e - comment interpréter alors, les paroles du "premier ministre haà¯tien, Jean-Max Bellerive, estimant lui-même que ce [la question de la dette d’Haà¯ti ] n’était "certainement pas le principal". "La dette haà¯tienne est supportable, le plus gros de l’annulation est déjà fait", a-t-il ajouté." puis, dit l’article, selon "d’autres observateurs, une annulation de sa dette pourrait embarrasser Haà¯ti en lui compliquant, à l’avenir, l’accès à de nouveaux crédits. "
Peut-être faut-il comprendre que a) la dette d’Haiti n’est qu’un des aspects de la crise structurelle de ce pays, auquel s’ajoute le cataclysme tectonique, après le climatique b) mobiliser l’opinion occidentale contre le crédit (et notamment les prêteurs, publics et privés, surtout affluents, le Vénézuela étant un premier créancier qui détonne) est relativement faisable (désormais fait), alors que le Premier ministre de ce pays semblait craindre que à§a nuise à son pays et son peuple...comment est-ce possible ?
Voir en ligne : source - Le Monde du 26 janvier