[Etude sociologique] Qui sont les conducteurs de deux-roues motorisés ?
3 octobre 2009, 11:28, par Lonewolf1300
Cette étude présente malheureusement certaines tares, communes à toutes les études de ce genre menées sur le monde motard.
D’une part, l’échantillon reste "étroit". 639 interviewés, c’est peu quand on connait le nombre d’usagers de 2RM et surtout leur extrême variété d’usage et d’origine (et même si les "règles de la statistique" affirment que cet échantillon "suffit"’). Ca revient à interroger 1 usager sur 3.500 ce qui est assez peu pour une population aussi disparate.
D’autre part, l’univers des 2RM est tranché d’office en trois catégories hétérogènes (-de 125, les 125, +de 125). Il manque cruellement de détails dans la catégorie +de 125. Cette dernière pourrait a minima être subdivisée en 2 catégories supplémentaires, car il en ressortirait évidemment des profils différents, en terme d’ages, d’ancienneté et de comportement.
Cette étude a tout de même le mérite d’exister, mais avec un effet de caricature d’autant plus grand qu’elle simplifie sa faà§on de catégoriser l’échantillon analysé.
Cette étude présente malheureusement certaines tares, communes à toutes les études de ce genre menées sur le monde motard.
D’une part, l’échantillon reste "étroit". 639 interviewés, c’est peu quand on connait le nombre d’usagers de 2RM et surtout leur extrême variété d’usage et d’origine (et même si les "règles de la statistique" affirment que cet échantillon "suffit"’). Ca revient à interroger 1 usager sur 3.500 ce qui est assez peu pour une population aussi disparate.
D’autre part, l’univers des 2RM est tranché d’office en trois catégories hétérogènes (-de 125, les 125, +de 125). Il manque cruellement de détails dans la catégorie +de 125. Cette dernière pourrait a minima être subdivisée en 2 catégories supplémentaires, car il en ressortirait évidemment des profils différents, en terme d’ages, d’ancienneté et de comportement.
Cette étude a tout de même le mérite d’exister, mais avec un effet de caricature d’autant plus grand qu’elle simplifie sa faà§on de catégoriser l’échantillon analysé.