Technologies de l’information : flirt avec le développement durable

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Technologies de l'information : flirt avec le développement durable

Les ministères de l’Economie et de l’Environnement se sont penchés sur les impacts écologiques de ces technologies de l’information et de la communication, et de leur apport dans la lutte contre le changement climatique.

Le rapport qui vient d’être remis à Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde bouscule les idées reçues. En permettant le développement de nouveaux modes de vie et de travail, les TIC (technologies de l’information et de la communication) auraient un apport positif pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre et permettraient d’économiser 1 à 4 fois leurs propres émissions sur le reste de l’économie. Mais, les TIC restent gourmandes en énergie. Les ministères de l’économie et du développement durable avancent 19 recommandations visant à les rendre plus sobres ou à promouvoir leurs usages permettant des gains supplémentaires en carbone.

Ordinateurs, téléviseurs, téléphones, chargeurs, box internet, serveurs, centres de données, … : les TIC ont désormais envahi notre quotidien. Les ministères de l’économie et de l’environnement se sont penchés sur les impacts écologiques de ces technologies de l’information et de la communication, et de leur apport dans la lutte contre le changement climatique.

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